Nouvelles, potins et informations
Cette page se subdivise en trois sections:
Généralités :
Connolly : informations et potins sur nos recherches concernant la famille Connolly
Pratte :
Page d'accueil | Dernière mise à jour 06 oct. 2012 |
Important: La page des "nouvelles, potins et informations" devenait de plus en plus volumineuse. J'ai donc convenu d'archiver cette page, à compter de ses débuts jusqu'à l'automne de 2000. Vous pouvez accéder à la page "archivée" en cliquant sur le lien ci-devant.
La descendance de Mathile Connolly, épouse d' Antoine Courchesne
Août 2012
Notre cousine Avis Conley a encore une fois réalisé un coup de maître en retraçant la famille d'Antoine Courchesne et Mathilde Connolly aux États-Unis. La clé de l'affaire était la transformation du nom "Courchesne" en "Cushing". Eh oui, rien de moins. D'ailleurs pour vous en convaincre, essayez de prononcer le nom "Courchesne" en anglais et vous comprendrez facilement comme ils sont devenus des Cushing! A ce que l'on peut comprendre jusqu'à maintenant, c'est à la suit du décès de leur fils Henri en juillet 1841 que Mathilde et Antoine se sont en allés vivre aux USA, puisque c'est là que nait leur fille Mathilda en juin de 1842. La famille s'établit d'abord au Vermont, pas loin de la frontière puisque Vincent, né à Walden VT en 1848 sera baptisé à Stanstead QC. La plupart des enfants se déplaceront éventuellement vers le New-Hampshire, la plupart des garçons y exerçant le métier de tailleurs de pierre. Mathilde décède à Littleton NH en 1906. Nous n'avons pas encore retracé le décès d'Antoine. Aux États-Unis, les actes civils sont établis aux nom de Mathilda Connolly et Anthony Cushing.
Vous pouvez consulter ces nouvelles données sur la famille Courchesne-Connolly en cliquant sur le lien que voici, puis cliquez sur "Liste des patronymes" et recherchez la famille Courchesne.
Août 2012
Je vous ai parlé déjà (voir plus bas) de Avis Conley qui m'a fait connaître Vincent, fils d'Edward et Marie. Avis est venue me visiter en compagnie de son frère Kevin; nous avons passé trois journées très intéressantes ensemble à visiter le "coin des Connolly". Cette rencontre fut chaleureuse et enrichissante pour nous tous. Nous avons visité la sépulture de Félix dans l'église Saint-Fulgence de Durham-Sud, l'église et le cimetière de L'Avenir, le site de l'ancienne chapelle et du cimetière de Saint-Pierre de Wickham, la terre d'Edward et Marie à la Longue Pointe. Nous nous sommes également rendus à Saint-François-du-Lac où nous aurions souhaité pouvoir localiser le site de l'ancienne église où Edward et Marie se sont mariés en 1822, mais nous n'y sommes pas parvenus. Nous allons continuer nos recherches, et je crois qu'avec l'aide de gens passionnés de l'histoire de Saint-François, nous allons y parvenir. Enfin, pour couronner le tout, nous avons visité l'église Sainte-Geneviève de Berthierville, là même où leur ancêtre Vincent a été baptisé en 1827; cette visite a pris un tournant pour le moins émotif lorsque nous avons pu nous approcher des fonds baptismaux originaux de l'époque et prendre dans nos mains l'aiguière qui a servi au baptême de Vincent: des pièces historiques!Cette visite a été l'occasion de créer une nouvelle amitié qui a déjà commencé à porter des fruits. A peine était-elle rentré chez elle, qu'Avis commençait à faire des découvertes intéressantes. Dans l'entrée suivante (voir ci-dessus), je vous parlerai de la descendance Courchesne du couple Antoine Courchesne et Mathilde Connolly (fille d'Edward).
Vincent Conley/Connolly s'ajoute à la liste des enfants de Edward et Marie
Janvier 2011
Il y a quelques jours, je recevais un courriel d'une dame Avis Conley-Hayden qui me disait être une descendante de Vincent Conley qu'elle croyait être le fils de Edward Connolly et Marie Gamelin. Elle avait en main des recensements dans lesquels Vincent déclarait à plusieurs reprises que son père était d'oridine irlandaise et que sa mère était québécoise. Avis me fournissait en plus la date exacte de sa naissance, sans idée de l'endroit de cette naissance. La date de naissance de Vincent était compatible avec l'hypothèse formulée par Avis, puisqu'il y a un vide dans la liste des enfants de Marie pour cette période.Comme c'est si souvent le cas en généalogie, ces quelques renseignements m'ont conduit à une découverte très intéressante. Premièrement, retracer la naissance de Vincent; en faisant le tour de toutes les paroisses qui existaient à cette époque autour de St-François-du-Lac (lieu d'origine de la famille Gamelin), j'ai fini par trouver la naissance de Vincent, même s'il s'agit d'un endroit un peu étonnant: Berthierville. Et oui, Vincent est né à Berthierville; et dans l'acte de baptême, on y dit que Edward est "journalier du lieu", ce qui veut dire clairement que la famille habite Berthierville et que Edward y travaille comme employé. Je reviendrai plus tard sur les conséquences de cet élément pour la compréhension de l'histoire de famille de notre aïeul.
Évidemment, cette trouvaille avait comme conséquence d'accréditer d'un coup l'ascendance de Avis avec Edward et Marie: Avis devenait donc notre lointaine cousine! Elle a gentiment accepté de me transmettre les données qu'elle possède sur la descendance de Vincent: son épouse, ses enfants et leurs descendants. Vincent a connu une vie peu banale. À l'âge de 26 ans, il est déjà rendu aux État-Unis, plus précisément à Medway, Maine, où il épouse Eleanor Fowles. Ils ont ensemble quatre enfants durant cette époque où ils vivent au Maine. En quelque part entre 1862 et 1868, la famille déménage au Wisconsin, où naîtront les deux derniers de leurs six enfants. Vincent décède à Green Bay, Wisconsin, en 1901.
En révisant mes vieilles notes suite à ces événements, j'ai constaté que j'avais déjà noté le nom d'un "Vincent" comme enfant possible dans le couple Edward et Marie. Mais en l'absence de toute autre information (pas d'acte de naissance, pas de date, pas de mariage, pas d'enfant, pas de décès...), j'avais cru préférable de ne pas l'inscrire dans mes données: c'était une erreur!
Je tiens à remercier très chaleureusement Avis Conley Hayden de m'avoir mis sur cette piste, et je lui souhaite la plus chaleureuse bienvenue dans la "famille"...
Du nouveau concernant la sépulture de Félix Connolly.
Novembre 2010
Notre cousin Lucien Laporte, son épouse et moi, avons convenu de tenter d'officialiser la sépulture de Félix.
Nos démarches ont finalement porté fruit. La Fabrique de Saint-Fulgence a accepté que nous faisions fabriquer deux plaques. Une première plaque semblable à celle de l'Abbé Manseau sera placée dans l'église pour signaler la sépulture de Félix qui se trouve sous l'église. Une seconde plaque, plus petite, mais plus explicite, sera placée sous l'église, au dessus de la sépluture de Félix, pour bien l'identifier. La Fabrique a accepté de s'occuper de l'installation des deux plaques.Samedi prochain le 20 novembre à 11 heures, quelques descendants de Félix se retrouveront à Durham-Sud pour officialiser le tout. Nous visiterons l'église ainsi que la sépulture; nous prendrons des photos, et nous finirons par un dîner au petit restaurant local. En cas de mauvaises conditions routières le 20 novembre, nous reporterons le rendez-vous à la semaine suivante. Les gens qui voudraient se joindre à nous peuvent communiquer avec moi d'ici là pour recevoir les informations de dernière heure.
Nous tenons à remercier chaleureusement les gens de Durham-Sud pour leur accueil et leur assistance, particulièrement Mme D. Bérubé, présidente de la paroisse, et M. R. Beaudoin, sacristain, qui nous ont assisté au long de nos démarches. Nous sommes fiers d'avoir finalement assuré la reconnaissance d'une de nos plus illustres ancêtres.
Voici des reproductions des plaques qui seront inaugurées la semaine prochaine.
Une percée importante: nous avons retracé la sépulture de Félix Connolly:
OCT 2009
Depuis plusieurs années, nous étions plusieurs à rechercher la sépulture de Félix Connolly, l'époux de Marguerite Courchesne. Nous avions plusieurs informations qui se recoupaient pour nous orienter vers une sépulture au cimetière de Danville; mais nous n'avions rien de solide, pas même un acte de décès. C'est par hasard, comme il arrive si souvent, que je suis littéralement tombé sur son acte de sépulture en recherchant l'acte de sépulture de quelqu'un d'autre. On sait qu'en 1881, Félix, son épouse Marguerite et quelques uns des enfants dont Luce, leur fille, habitent sur une terre à Danville, voisins de chez Alfred, un fils de Félix. La dernière mention de Félix que nous connaissions de son vivant est en 1883, à l'occasion du mariage de sa fille Luce à Danville. Puis en 1992, Marguerite décède à Sainte-Brigitte-des-Saults, chez son fils Félix-Édouard qui est curé de la paroisse. Son acte de sépulture à Danville mentionne qu'elle est veuve.En 1884, Félix-Édouard est curé de Saint-Fulgence, à Durham-Sud. C'est là que l'on trouve l'acte de sépulture de Félix en 1884. Comme l'acte mentionne que Félix est résident de Durham-Sud, on en déduit que lui et Marguerite étaient déjà retirés au presbytère en compagnie de leur fils, et de leurs deux filles Hélène et Louise qui sont ménagères du curé. Et pour comble de surprise, l'acte de sépulture mentionne que le corps de Félix a été inhumé dans l'église.
J'ai donc décidé d'aller faire un tour pour vérifier le tout sur place et voir de mes yeux. J'ai d'abord pris contact par téléphone avec une responsable de la paroisse, question de m'assurer que je pourrais visiter l'église. La dame m'a demandé à quel sujet je souhaitais visiter l'église; je lui ai répondu que selon mes informations, un de mes ancêtres était inhumé au sous-sol de l'église. Elle m'a répondu que je faisais sans doute erreur et que cela lui paraissait impossible puisque l'église est construite sur un affleurement rocheux et qu'à part une petite pièce servant de chaufferie, il n'y avait pas de sous-sol; elle a terminé en m'assurant qu'elle ferait quand même le nécessaire pour que quelqu'un puisse me faire visiter.
À mon arrivée, j'ai rencontré le sacristain de la paroisse, qui a accepté avec la plus grande générosité de me faire faire une visite guidée de l'église, y compris du sous-sol où, effectivement, on retrouve non pas une, mais deux sépultures: celles de l'Abbé Manseau décédé en 1892, et celle de Félix, décédé en 1884. Le sacristain, M. Beaudoin, savait que cette deuxième sépulture était celle du père d'un ancien curé, mais il ne savait pas de qui elle était au juste. Les deux sépultures sont fort sommaires en effet. Au sous-sol de l'église, une petite pièce sert effectivement de salle de chaufferie. Cette pièce, d'une hauteur normale et située sous le transept de l'église, est complètement ouverte sur le vide sanitaire sous la nef où le dégament va s'amenuisant à presque rien; c'est là que les deux sépultures reposent, déposées sur le roc. Les sépultures ont été emmurées d'un sarcophage de briques. Celle de Félix a été recouverte d'un monticule de sable fin, mais on peut voir et toucher les deux coins avant du sarcophage, ainsi que l'arête antérieure. Il n'y a aucune plaque, aucune identification. Dans l'église, une plaque mentionne la sépulture de l'Abbé Manseau, mais rien pour Félix.
L'histoire merveilleuse d'une métis devenue Lady:
Amelia Connolly, une des filles de William et Suzanne dont on a parlé ci-dessous, est née en 1812. En 1828, elle épousa à Fort St-James un nommé James Douglas, gérant de la Hudson's Bay Co, qui devint plus tard gouverneur de la Colombie Britanique. Peu après, James fut anobli par la couronne britannique, et alors sa femme devint Lady Amelia. Elle est connue dans l'histoire de la Colombie Britannique, et fort appréciée comme de raison, en tant que femme de bonnes oeuvres.
L'histoire fabuleuse de William Connolly:
Avril 2003. Si votre mémoire ne vous fait pas défaut, vous vous souviendrez peut-être de ce William Connolly, né à Lachine en 1787 et parti fait la traite des fourrures dans l'Ouest canadien, pour le compte de la Cie du Nord-Ouest. D'échelon en échelon, il fut convié à des responsabilités plus élevées, au point qu'au moment de la fusion de La Cie du Nord-Ouest avec la Cie de la Baie-d'Hudson en 1821, il devient co-actionnaire de la nouvelle compagnie. Il a six enfants avec une métis, du nom de Suzanne, appelée Suzanne Crie, ou encore Suzanne Pas de nom, son vrai nom étant Miyo Nipiy. En 1832, la famille revient à Montréal d'où William retournera sa Suzanne dans l'Ouest et mariera une fille de commerçant, sa cousine, Julia Woolrich. J'étais récemment à décortiquer le testament de Julia, en compagnie de notre cousin Peter Woolricth de Toronto, lorsque je reçu un courriel d'un nommé Richard Preston d'Ontario. Richard est un anthropologue retraité, et il est en train de collaborer à la rédaction d'une biographie d'un des fils de William et Suzanne, Henry Connolly. Richard possède une foule d'informations inédites sur la vie de Henry. Nous allons sans doute avoir l'occasion de partager nos connaissances sur cette famille ensemble, et j'aurai l'occasion d'y revenir pour vous en dire davantage.
Décès du Père Jean-Marie Connolly:
Nous apprenons avec regret le départ du Père Jean-Marie Connolly, Père Blanc, à l'âge de 85 ans. Jean-Marie était le fils de Jean-Rémi et Marie-Louise Bernard; sa lignée se rattache à la nôtre comme suit: Jean-Rémi est fils de Edouard-Joseph et Elise Gagnière, de Edouard et Anne-Magdeleine Desmanches, de Edward et Marie Gamelin. Jean-Marie est décédé le 4 octobre dernier et a eu son service funèbre à la maison des Pères Blancs d'Afrique de Lennoxville le 7 suivant.
Décès de notre cousin André:
C'est avec grande consternation que nous apprenions ce matin même, 5 jan 2002, le décès d'André Turcotte, de Coleman Cove, Nouvelle-Écosse. Personnellement, je perds bien plus qu'un cousin, je perds également un grand ami. J'étais justement allé passer une semaine chez eux en novembre dernier, et André et moi, de même que son épouse Lillian, avions passé de magnifiques moments ensemble. André est décédé subitement de ce qui, pour le moment, semble être un crise cardiaque importante. Je tiens à présenter à toute la familles mes sincères condoléances et le témoignage de toute mon affection pour André.
Aujourd'hui même, ce 29 mars, j'ai eu le plaisir de recevoir chez moi Hélène Grimard et son père Paul-Émile (cliquer sur la photo pour l'agrandir), qui ont passé la journée chez moi. Nous avons beaucoup échangé sur les Connolly et les Grimard. Hélène m'a apporté beaucoup de notes que je n'ai pas encore examinées de près: sans doute que j'apprendrai bien des choses encore sur les Connolly de la région d'Asbestos. Cette visite m'aura permis également d'enrichir ma banque de photos anciennes d'une bonne douzaine de nouvelles photos. Et donc, voici une nouvelle collaboration que est bienvenue!
Une nouvelle cousine.
La semaine dernière, plus précisément vendredi le 9 mars dernier, j'avais le plaisir de rencontrer pour la première fois Hélène Grimard. Hélène est la fille de Cécile (Tharé et Hélène Boucher) Connolly et Paul-Émile Grimard autrefois d'Asbestos. Hélène a commencé par me contacter après avoir pris connaissance de mon site internet. Elle s'intéresse à l'histoire de sa famille depuis un bon moment, mais elle a développé un intérêt plus marqué pour la généalogie depuis qu'elle est à Sherbrooke, et qu'en compagnie de son père, elle a découvert mon site.
Nous avons donc dîné ensemble au restaurant ce vendredi. Notre conversation fut un feu roulant d'enthousiasme, de découvertes, et d'informations de tous ordres; un peu à la va-comme-je-te-pousse, pour une première occasion! Mais quand même, quel plaisir!
M. Grimard, le père d'Hélène, vient passer quelques jours à Sherbrooke à la fin du mois, et il a bien hâte que nous puissions nous rencontrer tous les trois. C'est donc un projet que nous sommes à mettre au point: une journée où nous pourrons jaser de famille, faire plus ample connaissance et échanger des notes. Nous nous promettons également des photos, bien sûr!
Ce qui m'enthousiasme le plus de cette rencontre, c'est que Hélène et son père seront certainement en mesure de m'aider à compléter les infos qui me manquent tristement, concernant la branche de notre famille établie dans la région d'Asbestos. Comme on sait, il y a deux souches distinctes, et non reliées, de Connolly dans la région d'Asbestos, Danville et St-Georges-de-Windsor: pas facile de démêler tout ça! Hélène va pouvoir m'y aider grandement.
Quoi de neuf?
J'ai un peu moins actif sur ma page web, vous l'aurez constaté. Je n'étais pas au repos complet, rassurez-vous. Depuis un temps, je suis en contact régulier avec Peter Woolrich, un cousin de Toronto. Nous avons beaucoup travaillé ensemble sur la lignée de William Connolly marié à Julia Woolrich. Vous vous souvenez de ce William Connolly qui avait épousé une sauvagesse et dont la succession a fait l'objet d'un procès célèbre? Il s'agit du même personnage. Curieusement, ce William Connolly n'est pas apparenté à nous par le sang ici au Canada: sa mère, cependant, était une cousine de Marie Gamelin, l'épouse d'Edward.
C'est donc avec beaucoup d'intérêt et de plaisir que je collabore avec Peter à retracer l'histoire émouvante de la famille Woolrich. Je parle d'une histoire émouvante à dessein; nous commençons à peine à découvrir l'histoire d'un certain William Shaw Woolrich, et je vous en parlerai quand nous aurons plus d'informations.
Comme vous voyez, la généalogie continue d'agrandir le cercle de notre famille!
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