Familles Connolly Pratte Cloutier

Nouvelles, potins et informations

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Cette page se subdivise en trois sections:

Généralités : informations sur ce site web (11 mars)
Connolly : informations et potins sur nos recherches concernant la famille Connolly
Pratte : De nouveaux cousins!

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Dernière mise à jour 26 oct. 2000

FAMILLE CONNOLLY

Du nouveau chez Georges Connolly:

6 juillet 2000: Malheureusement, nous n'avons pas accès, ici à Sherbrooke, aux microfilms de l'Institut Drouin: il faut se rendre à Montréal. Ces microfilms ont l'avantage de couvrir une large période après 1900, contrairement aux microfilms des ANQ qui s'arrêtent brusquement en 1900! Notre cousine Louise a récemment dépouillé le microfilm Drouin pour St-Félix de Kingsey et y a trouvé des choses intéressantes.
Dans les documents manuscrits de grand-père Georges Connolly, j'avais repéré la mention d'un fils né en 1913, et décédé quelques mois à peine après sa naissance. Personne parmi les survivants de la famille ne semble avoir jamais entendu parler de ce fils; j'avais donc décidé, dans l'attente d'une éventuelle confirmation, de ne pas l'inscrire. La confirmation est venue:

Henri Edmour Marc-Aurèle Isaïe Connolly
né le 18 mai 1913, baptisé le 20 mai 1913
décédé le 4 septembre 1913, inhumé le 6 septembre

Mais ce n'est pas tout! Le registre de St-Félix fait mention d'un autre enfant au couple Georges Connolly et Blanche Forest. Il s'agit d'un enfant anonyme (probablement mort-né) né et inhumé le 1 mai 1908.

Pour quelle raison a-t-on presque perdu trace de ces naissances dans la famille? Spéculations autorisées...

Une nouvelle cousine:

23 jan 2000: Dernièrement, j'ai reçu un courriel d'une cousine que nous ne connaissions pas encore. Il s'agit de Maryse Connolly, fille de Gérard, Tharé, Guillaume-Henri, Edouard & Madeleine Demanche. Elle s'est mise en contact avec nous après avoir découvert ce site. Elle a constaté que nous avions peu d'informations sur les descendants de Tharé, et m'a offert son aide. Vous comprenez que, pauvre elle, je l'ai pratiquement découragée en la submergeant de questions dès mon premier message! Elle m'a donc fourni plusieurs renseignements utiles à compléter nos informations sur cette branche de la famille. Comme il s'agit d'informations tout à fait récentes, vous comprenez que je ne peux pas les diffuser ici. Pour ceux et celle qui sont de la famille et qui désirent obtenir copie de ces informations, envoyez-moi un courriel (pierre@connolly.net) et je vous retournerai les informations en question. Maryse m'indique qu'elle me donnera d'autres informations plus tard.

Encore une fois, un gros merci à Maryse, et bienvenue dans la famille, si je puis dire!

Le trésor d'Estelle:

5 déc 99: Je dois bien quelques excuses à ceux et celles d'entre vous qui suivez de près l'évolution de nos recherches: des obligations un peu spéciales m'ont forcé à remettre à plus tard les mises à jours que j'aurais aimé faire plus tôt; mais je crois que vous ne perdez rien pour attendre!

Comme vous avez sans doute eu l'occation de voir une note à ce sujet sur ce site, notre Cousine Estelle Gouin est décédée la semaine dernière à l'âge de 91 ans. Je l'appelais mon "encyclopédie" puisqu'elle connaissait des tas de données sur l'histoire de la famille Connolly. Elle avait, malgré son âge respectable, une mémoire de jeune fille, et une capacité de s'exprimer un peu rare.

Depuis trois ans, environ, j'ai eu l'agréable plaisir de passer de nombreuses heures en sa compagnie à discuter de nos recherches sur la famille Connolly, à lui faire réviser ce que nous avions, et à la questionner pour tâcher d'éclaircir les points obscurs. De plus, elle avait en sa possession une collection impressionnante de photos anciennes, dont en particulier un album de photos qui a été commencé par sa grand-mère Rose-de-Lima Lahaie. Estelle avait convenu avec moi qu'à sa mort, ces documents me seraient remis, ce qui fut fait. J'ai donc en ma possession le précieux album en question, de même que plusieurs autres documents de moindre importance cependant. D'autres documents restent à venir, puisque les cousins responsables de l'administration de sa succession n'ont pas encore terminé le dépouillement: ils m'assurent que tout ce qui concerne la famille Connolly me sera remis.

J'ai donc pensé mettre à votre disposition tranquillement pas vite, au moins une partie du contenu de cet album. Je commence aujourd'hui par un squelette bien restreint, à la mesure du temps dont je dispose: je complèterai plus tard. Je me dis que si je ne commence pas maintenant, je ne commencerai jamais... C'est certain que dans la mesure où vous apprécierez cet album et que vous me le laisserai savoir, dans la même mesure je me sentirai "pousser dans le dos" à le continuer. Comme tout ça risque d'être un peu volumineux, vous allez remarquer que les documents en question sont sur un autre site, ce qui ne devrait pas poser de difficulté. S'il y a problème, vous m'en parlez et on verra à corriger la situation.

Pour accéder directement à cette page, suivez le lien intitulé "L'album d'Estelle" dans la section Rubriques d'intérêt.

Diane, descandante de Marguerite Connolly:

12 nov 99: J'ai eu le plaisir aujourd'hui de recevoir la visite de Diane Dubois, de Charlesbourg. Avec cette visite, c'est toute une nouvelle lignée de notre famille qui s'ouvre à nous. Jusqu'à ce jour, nous n'avions dans nos données aucun descendant contemporain du mariage de Marguerite Connolly (fille d'Edward et Marie Gamelin) avec Hyacinthe Vallée: c'est maintenant corrigé. Nous avons donc passé une bonne partie de la journée ensemble, à faire connaissance et à échanger des informations sur la famille. C'est bien évident que nous n'avons pas eu le temps de tout couvrir, ce qui laisse voir que déjà, nous avons assez d'informations sur l'histoire de notre famille pour que cela ne se dise pas dans quelques heures. Alors Diane sera donc avec nous par l'entremise d'internet; nous allons continuer de nous échanger des informations. Les membres actifs de la famille auront donc l'occasion de recevoir son adresse de courriel. Bienvenue à Diane!

D'autres contrats d'Edward.

25 oct 99: La vie d'Edward n'a pas été sans de nombreux rebondissements! Lui et son épouse Marie se "donnent" à leur fils Félix, puis se ravisent 10 mois plus tard: Félix renonce alors aux prévilèges acquis suite à cette donation. Mais voilà que cinq années plus tard, on refait la même donation, pour de bon cette fois! Suivez ces péripéties et bien d'autres en cliquant sur le lien Les contrats d'Edward.

Enfin, le testament d'Edward!

22 oct 99: Bien oui, enfin le testament d'Edward. Si la hâte vous ronge, suivez immédiatement le lien Testament d'Edward. J'ai eu accès au microfilm en question ce matin seulement. Il s'agit du greffe du notaire Louis-Basile David, de Drummondville. Vous remarquerez à la lecture de ce document que notre ancêtre s'est montré avant-gardiste en désignant une exécutrice testamentaire.
L'accès à ce testament est l'aboutissement de quatre mois de recherches à partir d'un indice qui nous a été fourni par une américaine avec laquelle notre cousine Louise avait communiqué. Disons que la chance nous a quand même souri un peu.
Et comme il était dans l'habitude des gens de l'époque d'adopter un "notaire de famille", il se trouve donc dans le greffe de ce même notaire plusieurs actes notariés relatifs à la famille de nos ancêtres. A part le testament en question, j'ai repéré ainsi cinq autres actes. Un de ces actes est un "acte de donation d'Edward Connolly et Marie Gamelin sa femme à leur fils Félix". Ce document me semble intéressant au point de le mettre ici dès que possible également. Vous comprenez qu'il faut d'abord déchiffrer ces documents, qui ont été écrits à la main par des notaires qui n'avaient pas toujours l'habitude de soigner leur écriture...

 

Encore l'ancêtre Courchesne...

22 sept 99: Je crois bien que cette fois sera la dernière! C'est un vrai roman savon!
Sur le forum du CGFA, M. Bertrand Desjardins attire récemment mon attention sur le fait qu'il y a grande similitude entre les deux familles Courchesnes de l'époque qui nous intéresse, à savoir celle de François Courchesne & Marguerite Bergeron, et celle de Jean-Baptiste Courchesne & Marguerite Lafond. Plusieurs enfants portent les mêmes noms; en plus il y a là toute une série de noms "dits", comme par exemple les "Foucault dit Courchesne". Toujours qu'en fouillant encore plus loin, on trouve un Joseph Courchesne dans chaque famille. Le Joseph "à Jean-Baptiste" épouse Marie-Madeleine Charpentier comme il appert de son acte de mariage clairement lisible! Donc notre Joseph marié à Marie-Louise Chevrefils ne peut être le fils que de François & Marguerite Bergeron. Pour plus d'information, cliquez sur le lien PICHOU au paragraphe suivant: j'y ai ajouté le complément d'informations plus techniques.

Que le véritable ancêtre Courchesne se lève!

15 sept 99: Il y a au moins deux prétendants très sérieux au titre! Juste pour dire que l'ignorance est souvent source de quiétude béate, et la connaissance source de tourments. C'est ce qui nous est arrivé aussi longtemps que nous avons cru en toute quiétude que l'ancêtre de Marguerite Courchesne (épouse de Félix Connolly) était Jean-Baptiste Courchesne l'indien, marié à Marguerite Lafond à Batiscan en 1710. Voici que les données que nous a apportées Guy Connolly (voir ci-dessous) lors de son passage à Ste-Adèle mentionnent plutôt un certain François Courchesne marié à Marie Bergeron. C'est à partir de ce moment que les tourments ont commencé, et que nous avons cessé de dormir! Non, quand même pas, mais... Il y avait là de quoi piquer la curiosité d'autant que des auteurs très sérieux se rangeaient dans les deux camps, et pour certains, même, dans les deux camps à la fois (de vrais politiciens, quoi!).
Toujours qu'en fin de compte, c'est un contrat passé entre Joseph Courchesne et son frère Pierre qui nous permet de trancher la question, ce contrat devant notaire affirmant que Joseph est le fils de Jean-Baptiste Courchesne, et non pas de François.
Si les détails précis de cette saga vous intéressent, suivez le lien
Jean-Baptiste Pichou. Vous aurez sans doute plaisir à consulter ce document même si vous n'êtes pas un "généalogiste patenté": vous y découvrirez les dessous de la recherche méthodique à laquelle on doit parfois se livrer pour trouver la "vérité"...

 

Visite à Ste-Adèle; veillée en compagnie de Guy Connolly; rencontre avec Lucie:

29 août 99: La semaine dernière, j'ai eu le plaisir de passer plusieurs jours chez notre cousin Paul et sa mère Cécile à Ste-Adèle. Vous comprenez que de se voir en personne une fois par année, ce n'est pas beaucoup pour deux amateurs épris de généalogie comme Paul et moi! Alors nous en avons profité pour s'échanger des tas de données et d'informations de tous ordres relativement à la généalogie et à l'histoire de notre famille. Sans doute que le clou de cette semaine fut la visite de notre autre cousin Guy Connolly (voir ci-dessous au 27 février 99). Depuis que nous avions fait connaissance de Guy par internet, nous n'avions pas encore eu le plaisir de nous rencontrer en personne. Et voilà que Guy s'est joint à nous trois (Paul, Cécile et moi-même) pour le souper et la veillée de mardi. Inutile de vous dire à quel point nous avons apprécié la rencontre qui nous a permis de retracer tout un pan de l'histoire de la famille, à compter de son grand-père Émile jusqu'à ses enfants et ceux de sa famille. Vous pouvez afficher une photo de Guy et Cécile, photo prise à cette occasion. Si la famille vous intéresse, vous pouvez consulter le sommaire des descendants d'Émile Connolly.

Le lendemain, à savoir mercredi, j'ai eu le plaisir de rencontrer Lucie, une autre soeur de Paul et fille de Cécile. Lucie est fort intéressée, comme le reste de la famille d'ailleurs, aux travaux de recherche que nous menons sur l'histoire de la famille. Vous pouvez afficher une photo de Paul, Cécile et Lucie.

Parmi toutes ces activités de généalogie, Paul a trouvé le tour de m'amener faire un tour de vélo sur la piste du parc linéaire du P'tit train du Nord: quel beau spectacle! Tour de vélo suivi d'une baignade rafraîchissante dans la magnifique Rivière du Nord.

Testament d'Edward: délai d'envoi:

18 août 99: Comme je vous ai déjà mentionné (voir 28 juillet ci-dessous), j'ai passé commande aux ANQ pour obtenir le microfilm du testament d'Edward. La SGCE (qui transmet ma demande aux ANQ) m'informe qu'elle a reçu un avis des ANQ indiquant que le service est présentement suspendu à l'occasion de rénovations de locaux; on nous prie de refaire une nouvelle demande en septembre prochain. Il faut donc s'attendre à obtenir le fameux microfilm que vers la fin de septembre ou le début d'octobre. Vous n'avez rien à craindre: vous serez les premiers informés!!!

Visite au Centre d'Archives de Nicolet:

13 août 1999: D'entrée de jeu, je dois vous dire que l'espérance a dépassé la réalité! J'ai trouvé là bien des choses, souvent intéressantes, mais en ce qui concerne l'histoire de notre famille, rien que nous ne savions pas déjà, ou à peu près. J'ai mis la main sur une copie dactylographiée du fameux texte publié dans le Foyer Canadien sur Félix (voir plus loin - 4 décembre 1998). Cette copie n'est pas signée, non plus que la copie publiée dans la revue: qui donc en est l'auteur? Aucun indice ne permet de le dire. La copie dactylographiée se trouve dans le fonds d'archives d'un dénommé Bergeron, alors curé de Wickham; est-il l'auteur de ce document, et il s'en serait gardé une copie dactylographiée de première frappe? Ou bien a-t-il vu cet article dans la revue, et il aurait décidé de s'en taper une copie vu qu'il s'agissait d'un de ses paroissiens?

A part ceci, j'ai trouvé également deux gravures originales de la chapelle de St-Pierre de Wickham, une photo de la résidence du notaire St-Amant à L'Avenir et plusieurs photos que nous avons déjà de F.-E. Connolly. Enfin, j'ai pris photocopie d'un recensement de 1860, dans lequel on trouve Félix Connolly, Henry Connolly et Edouard Connolly, en plus de la famille "Courchaine" (Courchesne)

Nom: Partie de lot Superficie (âcres)
cultivée / inculte
Valeur foncière Production annuelle
Félix Connolly #2, 1/2 nord
#3, 1/2 nord
#4, 1/4 sud
Total:
60/40 (100)
60/40 (100)
15/35 (50)
135/115 (250)
450$
600$
140$
1190$
45$
60$
14$
119$
Henry Connolly #3, 1/4 nord
#4, 1/4 nord-est
Total:
10/40 (50)
15/35 (50)
25/75 (100)
175$
140$
215$
17.50$
14$
31.50$
Edouard Connolly #5, 1/2 sud 35/65 (100) 500$ 50$
Famille Courchesne #2, sous-partie 10/23 (33) 150$ 15$

J'ai inclus la famille Courchesne parce que trois des enfants Courchesne ont épousé des Connolly; il faut donc noter que le père Antoine Courchesne a élevé sa famille sur une terre de 33 âcres!!! Et qui valait, vers la fin de sa vie ou même après sa mort la forte somme de 150$...Haut de la page

Le testament d'Edward Connolly:

28 juillet 1999: Suite à des informations fournies par notre cousine Louise Gervais, et lui provenant d'une correspondante des États-Unis, concernant l'existence d'un testament d'Edward Connolly déposé aux ANQ à Trois-Rivières, je me suis mis à dépouiller les greffes de notaires qui avaient déposé à Trois-Rivières. Après avoir passé en revue une bonne quinzaine de greffes (par les index sur microfiches), j'ai finalement localisé le fameux testament du 27 février 1839. Comme le microfilm contenant ces documents n'est pas disponible aux ANQ de Sherbrooke, j'ai dû le commander à Québec. Dès que je le reçois, soyez assuré(e)s qu'il me fera plaisir de vous en transmettre copie ici-même. Il est à noter qu'en même temps que ce testament, j'ai repéré aussi plusieurs contrats notariés se rattachant à l'un ou l'autre des ancêtres de la même époque: j'en aurai copie également. Nous avons déjà, je vous le rappelle, le testament de son épouse, Marie Gamelin, dont vous pouvez lire la transcription ici-même.

Encore du nouveau sur Edward:

25 mai 1999: Ca ne tarit pas! Sauf que je manque un peu de temps pour tout vous raconter... Je pars pour la pêche, voyez-vous, dans quelques jours et je n'ai pratiquement rien de prêt encore; alors je vous résume très brièvement. Louise a reçu des informations suite à la lettre qu'elle a adressée il y a quelque temps à une dame des US repérée par le site de mormons. On y apprend des tas de détails intéressants, mais entre autres qu' Edward aurait eu encore un autre frère qui serait venu au Canada comme soldat, cette fois: John. Ce John aurait également reçu une terre dans la région de Drummondville: s'y est-il installé? Ca reste à voir... Plus de détails suivront sur les renseignements obtenus par ce biais.

De mon côté j'ai reçu une réponse d'un dénommé Richard Connolly, qui recherche la lignée des Connolly descendant de William Connolly et Suzanne Crie. Il s'agit d'un couple connu des historiens pour plusieurs particularités plutôt rocambolesques qu'importantes, mais passons pour le moment. Cette lignée de Connolly n'est pas reliée à la nôtre sinon par une affinité éloignée venant du fait que la mère de ce William est une dénommée Louise Gamelin, cousine issue de germains avec notre Marie Gamelin épouse d'Edward. Comme quoi la généalogie peut effectivement se définir comme étant "l'art de démontrer que nous sommes tous parents" ... Toujours que la lettre que j'ai reçu nous ouvre une source d'information qui nous permettra sans doute de placer un certain nombre de Connolly à propos desquels nous nous demandions s'ils avaient ou non un lien de parenté avec nous. Cette lignée, ou du moins une partie de cette lignée du moins, a en effet habité la région des Cantons de l'Est vers les 1850. A suivre également.

Les autres Connolly:

20 mai 1999: J'ai entrepris il y a quelques semaines de faire la saisie de tous les Connolly que je pouvais trouver, de notre lignée ou pas. Ca fait environ 1200 individus que j'ajoute ainsi à mes données. De temps en temps je trouve quelqu'un de notre famille, mais pas beaucoup. Par contre, ca me permet de confirmer certaines hypothèses concernant des liens de parenté, ou plutôt l'absence de liens de parenté. Il me reste encore plusieurs personnes à entrer ainsi dans ma base de données. On y arrivera ...
En parallèle avec cette série de saisie, j'ai entrepris également de numériser les actes de BMS dont j'ai copie sur papier. J'en ai un bon nombre, et ils se retrouveront éventuellement sur notre CD.

La famille d'Edward:

30 avril 1999: Les dernières trouvailles de Louise ont permis de faire avancer considérablement nos recherches sur la famille d'Edward. Voici où nous en sommes présentement:

Felix Connolly ------+- Edward Connolly - - - (branche connue
m. Margaret O'Connor |    m. Marie Gamelin 
                     |
                     +- John Connolly (Irlande?)
                     |
                     +- Peter Connolly (Irlande?)
                     |
                     +- Michael Connolly -+- John Connolly ----------+- Michael Connolly
                        m. Nancy McKenna  |  m. Eleanor Helen Finlay +- John Lancelot Connolly
                        (Canada/USA)      |                          +- Eliza Jane Connolly
                                          |                          +- Charles Connolly
                                          |
                                          +- Catherine Connolly------+- Sophia Luniva Healey
                                          |  m. Justin Healey        +- Chester F.W. Healey
                                          |                          +- Edward Healey
                                          |                          +- Darius Healey
                                          |                          +- Justin Jr Healey
                                          |                          +- Catherine Healey
                                          |
                                          +- Michael Connolly --------- Catherine Connolly
                                             m. Sally Stevens

Si quelqu'un d'entre vous est en possession de quelqu'information complémentaire à celles-ci, vous êtes prié(e)s de nous en aviser. Nous essayons également de relier les Connolly contemporains de la région d'Asbestos et St-Georges-de-Windsor avec la lignée de Michael. Il faudrait trouver un lien entre cette lignée et un certain Patrick Connolly, marié à Catherine Burke: vous avez quelque chose?Haut de la page

Louise réussit une découverte d'importance:

21 avril 1999 : J'ai reçu des notes hier soir de notre cousine Louise qui me donne un tas d'informations nouvelles et tout à fait inédites sur Edward Connolly. Elle m'informe avoir trouvé ces données sur le site des mormons, à http://www.familysearch.org/ . Je vous cite ici les points saillants:

Il faut prendre ces données comme approximatives cependant. A preuve les données concernant Edward: les informations prises sur le site des Mormons disent qu'il est né vers 1770, et qu'il est décédé en 1839 à Drummondville. On sait par plusieurs autres sources recoupées qu'il est né plus précisément en 1776, même si la date exacte ne nous est pas connue; on sait également par son acte de sépulture (ANQ M 149-59 #30) qu'il est décédé le 24 juillet 1857, à L'Avenir. Le lieu du décès peut donc être considéré comme bon, mais la date est cruellement erronée.

Tout ceci accréditerait fort bien la tradition orale transmise par notre père Léo, à savoir "qu'ils auraient été deux frères Connolly venus au Canada; l'un des deux serait émigré aux États-Unis". Et ainsi, la réalité rejoindrait la légende. Nous allons suivre cette piste... C'est intéressant. Merci, Louise!

Qui sait si nous n'allons pas nous trouver un lien de parenté avec cette autre lignée de Connolly de la région de Danville et Asbestos, et à propos de laquelle la tradition orale prétend que nous ne lui sommes pas apparentés... Il faut s'y attendre, même si nous n'en avons pas encore la preuve. Mais il semble que l'hypothèse sera assez facile à vérifier ou à discréditer. C'est à suivre.Haut de la page

Enfin, le dossier d'Edward:

14 avril 1999: J'ai le plaisir de vous annoncer ce que je considère comme l'aboutissement d'un "coup fumant": la découverte du dossier de service militaire de notre aïeul Edward Connolly, aux Archives Nationales d'Ottawa. L'exploit n'est pas de lire le dossier, mais de le trouver... Je croyais bien devoir faire appel à un chercheur d'Angleterre pour aller fouiller les archives de Kent pour nous, mais non. Deux instances m'ont mis sur la piste. La lettre reçue des Archives Nationales, et dont je vous ai déjà parlé, et le magnifique volume de M. Norman K. Crowder, intitulé British Army Pensioners Abroad.

Après avoir réussi à trouver les numéros de bobines de microfilm pour les dossiers du 4th Royal Veteran Battalion au War Office 97, j'ai pris une chance de les commander à Ottawa par l'entremise de ma Société de Généalogie. La première surprise fut le délai de livraison: on m'avait prévenu de me préparer à attendre de 6 mois à un an: j'ai reçu les bobines en 5 semaines environ. Seconde surprise, encore plus agréable que la première: le dossier d'Edward s'y trouvait bel et bien, au bon endroit, en ordre alphabétique... Wow!

On y apprend des choses étonnantes... Il a effectivement joint l'armée anglaise en 1797, comme nous l'avions supputé à partir des autres indices que nous avions. Il a servi aux Bermudes (West Indies), il a été blessé aux deux jambes à Fort Georges, et quoi encore. Je vous laisse la joie de découvrir à votre tour si le coeur vous en dit. J'ai reproduit le document par transcription. Vous y accédez en cliquant sur Dossier militaire d'Edward.Haut de la page

Bienvenue à notre cousine Carmen:

13 avril 1999: Aujourd'hui, j'ai eu le plaisir d'aller faire connaissance avec notre cousine Carmen de La Boursodière et de son mari Jacques. La rencontre fut des plus chaleureuses, et nous avons eu beaucoup de plaisir à réviser ensemble toutes les photos que Carmen avait préparées: bien des liens de parenté à préciser et à démêler! Et aussi bien des historiettes sur tous et chacun. J'ai pensé à Cécile à plusieurs reprises: on a parlé de bien des gens qu'elle a connus: faudra se reprendre, n'est-ce pas Cécile?

Carmen a également en sa possession une magnifique reproduction des armoiries familliales: quelqu'un a ramené ce cadre d'Irlande, on ne sait trop qui.

Ce furent donc quelques heures très agréables, au terme desquelles nous avons convenu de nous reprendre puisqu'il nous reste bien des choses à discuter et à compléter: c'est l'appel de la famille, quoi!

Suis donc revenu avec bien des photos à numériser et à classer... J'ai mis deux photos à votre disposition, si vous souhaitez faire connaissance avec notre cousine Carmen.

A venir dans les prochaines semaines:

6 avril 1999: Comme j'ai commencé à l'anoncer il y a quelque temps, nous aurons bientôt un CD Rom disponible sous le titre "La famille Connolly en 500 images". Les travaux vont très bon train. Dès qu'il est disponible je vous en informe.Voir CD Rom

- J'ai rendez-vous la semaine prochaine avec une autre de nos cousines, Mme Carmen de la Boursedière. Carmen est la fille de Gertrude Connolly, petite fille d'Eugène Connolly autrefois de Montréal. Elle me dit qu'elle a en main plusieurs vieilles photos de la famille!!! Hourra! Le CD va prendre du volume!

Un nouveau cousin: Guy Connolly.

27 février 1999: Ce soir-même, je recevais un message de Guy Connolly de Montréal, qui se présentait comme un "nouveau membre de la famille" (voir le "Babillard" sur ce site). En effet, Guy est fils de Paul-Émile Connolly, fils d'Émile, fils d'Alfred et Marie-Louise Taillon, que nous connaissons tous. Guy arrive avec plein de nouvelles informations concernant sa lignée, particulièrement son père Paul-Émile et son oncle Jean Connolly. Je lui souhaite donc le plus cordiale bienvenue au sein du groupe, et je souhaite qu'il tire autant de plaisir que nous à participer à nos recherches et à nos découvertes. Chut! Cette semaine, le trois mars, ce sera l'anniversaire de son père Paul-Émile... On soulignera la chose!

La carrière militaire d'Edward: on progresse encore.

26 février 1999: Il y a quelques jours, je m'interrogeais sur la valeur monétaire de la pension de 9d. (?) accordée à Edward en 1817. La monnaie anglaise de l'époque comportait trois unités. Le penny (au pluriel "pence"), le shilling et la livre sterling. Il y a 12 pence au shilling, et 20 shillings à la livre sterling. Un shilling correspondait à peu près au revenu journalier d'un travailleur de ferme de l'époque au Canada. Edward reçoit une pension journalière de 9 pence, ce qui équivaut donc à environ 75% du salaire moyen d'un travailleur agricole.

Nous savons de plusieurs sources qu'Edward appartenait au 4th Royal Veteran Battalion (acte de mariage, archives militaires ...). Des recherches plus poussées m'ont appris que ce régiment vient du 10th Royal Veteran Battalion, qui a été renommé avant son démembrement de 1816. Le 10th RVB est formé en 1806 en Angleterre à partir de vétérans portés volontaires en vue de sa mission au Canada; on promet aux volontaires l'octroi de terres à leur retraite de l'armée ou au démembrement de leur régiment. Le régiment arrive à Québec à l'été suivant: 600 hommes de troupes, en plus des haut gradés. Le régiment est cantonné à Fort St-Joseph. Au déclenchement des hostilités, en 1812, le 10th RVB est le premier à entrer en action. Il traverse le lac Huron en juillet de 1812 et capture le Fort Michilimackinac. L'année suivante, le régiment participe à la bataille de River Raisin (près de Détroit aujourd'hui) et de Fort Stephenson, sur la rivière des Miamis. Par la suite, le régiment est graduellement rapatrié au Bas Canada pour exercer des services de garnison. C'est alors qu'Edward se retrouve à William Henry où il se marie en 1816. Le régiment a été renommé 4th Royal Veteran Battalion, et suite à la fin de la guerre au début de 1815, il est démembré en 1816. Edward reçoit pension l'année suivante.

Edward se serait donc porté volontaire au 10th RVB en 1806: il était alors âgé de 30 ans, et était déjà un vétéran. A l'époque, les jeunes joignaient l'armée vers les 18 ans. Edward aurait possiblement joint l'armée anglaise vers les 1794, ou à peu près. Or l'Angleterre est en guerre en Europe depuis 1792, année où elle s'est jointe à une coalition d'états désireux d'empêcher une France trop expansioniste à leur gré de conquérir l'Europe entière. Il est donc probable qu'Edward ait participé aux campagnes contre la France. En Italie du nord, en Suisse? Le saurons-nous jamais? Tout ça est tout à fait captivant!Haut de la page

Complément d'information sur le dossier d'Edward.

24 février 1999: Aujourd'hui, à la SGCE, j'ai eu l'occasion de consulter un volume intitulé "British Army Pensioners Abroad 1772-1899" par Norman K. Crowder. L'introduction de ce volume explique clairement pourquoi les Archives Nationales parlent de "Chelsea Hospital out-pension list". Voici un extrait:

Discharge process:
When a serviceman was discharged, disability or length of service may have entitled him to a pension. In such a case, it was customary to convene a board of officers to review the man's service and compile a summary record, including a medical officer's report. For men being discharged overseas the file was sent to the Royal Hospital, Chelsea, for review and determination of entitlement to a pension. (Introduction, page VII)

L'hopital Royal de Chelsea a été fondé en 1692, et il avait pour rôle d'accueillir et héberger les soldats de l'Empire qui revenaient au pays après avoir été blessés dans les colonies. Il pouvait accueillir environ 500 résidents. Les vétérans qui y étaient admis étaient désignés sous le nom de "in-pensioners"; ils portaient un uniforme distinctif et suivaient un régime de vie semi-militaire incluant la garde et les rondes de garde.

Les vétérans qui ne pouvaient trouver place à l'Hopital de Chelsea devaient se loger par leurs moyens ailleurs. On les appelait les "Out-pensioners". La majorité de ceux qui revenaient en Angleterre retournaient dans leur région natale, où ils recevaient leur pension d'officiers locaux. Plusieurs sont restés dans les colonies où ils avaient été affectés: ils y recevaient également leur pension d'officier locaux.

Un autre paragraphe nous renseigne sur l'établissement de la pension:

Terms of Pensions
... As a rule the pensions were paid for the lives of the pensioners, although in some instances they were paid for a specified period, especially when a regiment was disbanded. Pensions could be stopped for misconduct or conviction of a crime. Any "violence or outrage" toward the officer paying the quarterly pension could be grounds for taking away the pension - see page xviii. On the death of the pensioner, the pension ceased - there were no benefits for surviving widows or children. Various officials were authorized to pay the amouts quarterly; in Canada officers of the Commissary General were given this responsitility. The daily amount ranged from 5 pence to 3 shillings, with a shilling being a fairly typical amount by the mid-century. A shilling was approximately the wage of a farm labourer in Ontario, Canada in 1851. (page IX)

A la page 241 de ce volume, on trouve la mention suivante:
Edwd CONNOLLY; pension awarded 5 Jun 1817; residence - Wm Henry, Quebec, Canada; died 24 Aug 1857, Quebec, Quebec, Canada. SOURCE: WO120 Volume 70 page 251

 

Le dossier militaire d'Edward: enfin des nouvelles.

23 février 1999: Nos lecteurs de la première heure se souviendront qu'en octobre dernier, le 10 octobre pour être plus précis, j'envoyais aux Archives Nationales d'Ottawa une demande pour l'obtention du dossier militaire d'Edward Connolly, notre ancêtre. J'ai reçu réponse hier.

A première vue, le réponse reçue nous apprend peu de choses. Ceux et celles qui voudraient consulter le texte de la lettre de réponse peuvent cliquer sur le lien que voici: Lettre de réponse

Cette lettre est accompagnée des trois documents suivants:

  1. Document intitulé "QUICK GUIDE SERIES: Manuscript Division"
    Ce document est la "liste de concordance" mentionnée dans la lettre. Il semble indiquer un numéro de bobine de microfilm à consulter concernant le 4th Veteran Battalion. Je vais commander la bobine.
  2. Document intitulé "Généalogistes".
    Ce document contient une liste de chercheurs recommandés par les AN. Certains ont des spécialités. La plupart ont une adresse internet.
  3. Photocopie de 2 pages du "out-pension list of the Chelsea Hospital, 5 June 1817", pages 127-128
    Ce document donne une liste de membres du régiment en question, avec pour chacun le montant de la pension accordée. Edward s'y trouve, avec une pension de 0s. et 9d. Quelles sont ces unités? Les recherches sont ouvertes. Si vous avez une réponse, nous apprécierons que vous nous la partagiez.

La lettre mentionne que le 4th Veteran Battalion est un régiment de "soldats de métier". Ah bon, voilà du nouveau! Ce détail invalide certaines de mes suppositions que j'avais incluses dans le "Journal d'Edward" concernant son recrutement. J'avais supposé qu'Edward s'était enrôlé spécifiquement pour venir en Canada... Ce serait sans doute à revoir. Mais quand même, en vertu de ce détail, nous devrions pouvoir obtenir des informations à son sujet dans aux archives britanniques. Comme le M. Yates mentionné dans la lettre n'a pas d'adresse internet, je vais lui écrire pour m'informer dans un premier temps du coût que peuvent représenter ces recherches; nous aviserons ensuite.Haut de la page

Une tournée à Danville:

19 fév 99: Lundi dernier, il faisait temps magnifique sur la région. Beau temps pour voyager. Un coup de fil à Denis Connolly et nous voilà en route. Je me suis rendu à Danville en début d'après midi. Au premier coup d'oeil, je crois, nous avons tous les deux réalisé que nous étions "en famille", si je puis dire, tellement les airs de famille ne trompent pas. Denis n'a pas de notes écrites, mais il a bonne mémoire. Et c'était comique de le voir faire, à chaque fois que nous parlions d'une nouvelle famille: il prenait son crayon et écrivait les noms des enfants.

Toujours que Denis me confirme presque tous les renseignements que nous avions. Son père Emile Connolly, qui a habité Asbestos, était le fils de Tharé, fils de William-Henry, fils d'Edouard et la petite Demanche, lui-même fils d'Edward. Denis ne pouvait remonter plus loin que son grand père Tharé. Il a examiné longuement et avec soin le tableau que je lui avait préparé pour illustrer notre lien de parenté.

Des descendants de Tharé, il ne reste, dans la région de Danville et Asbestos, que Denis et son fils Steve, un oncle du nom de Gérard et Jocelyn le fils de Gérard. Il reste par contre quelques filles et petite-filles d'Emile mariées à des résidants de cette région. Les autres Connolly qu'on y trouve, aussi bien d'ailleurs qu'à St-Georges de Windsor, descendent de Patrick Connolly et Catherine Burke: j'ai recensé une cinquantaine de personnes de cette lignée. Denis était assez bien au courant de cette situation, et sans savoir ni le pourquoi ni le comment, il pouvait m'affirmer que ces gens ne sont pas parents avec nous.

Enfin, Denis me mentionne qu'il a glissé un mot de notre rencontre à son frère Réjean, qui serait heureux de me rencontrer également. Il est probable que Réjean ait des photos de la famille. Je prévois donc communiquer avec lui prochainement.

Pour les intéressé(e)s, j'ai ramené une photo de Denis en compagnie de son fils Steve. Haut de la page

Les Connolly de Danville et Asbestos:

10 fév 99: Si vous avez l'impression que tout est au point mort, détrompez-vous! Les "trois mousquetaires" sont toujours au travail. Il s'agit de notre cousin Paul, de notre cousine Louise et de moi-même. Depuis la visite de Paul, Cécile et Lise à Danville, alors qu'ils ont localisé un Denis Connolly sans doute parent avec nous, nous n'avons pas oublié... Cette fois, c'est Louise qui nous a remis sur la piste. Et maintenant l'escouade au grand complet est sur "le cas des Connolly de Danville et Asbestos".

Louise a retracé le lien qui relie Denis Connolly à notre famille, en passant par son père Emile Connolly, et son grand père Tharé Connolly, petit fils de Edouard et Magdelaine Desmanches. Du côté d'Asbestos, j'ai retracé toute une lignée de Connolly, à partir de Michel fils de François: une cinquantaine d'individus en tout. Cette lignée semble se rattacher à une souche différente de la nôtre, sans doute celle de l'autre soldat Connolly installé à Drummondville en même temps que notre Edward. Et donc il faut conclure qu'une partie du moins des Connolly d'Asbestos et de St-Georges de Windsor ne sont pas parents avec nous.

La prochaine étape sera sans doute une petite visite à M. Denis Connolly de Danville. A suivre...Haut de la page

Un voyage à Montréal fructueux:

30 déc. 98: Je reviens de Montréal, où j'ai passé quelques jours chez ma soeur Françoise. En cherchant chez elles des photos de la famille de son mari Yvon, j'ai découvert (pour moi, en tout cas) deux excellentes photos de J. Georges Connolly et Blanche Forest. Vous pouvez en visionner des exemplaires réduits en cliquant ici: Georges & Blanche. Il s'agit des meilleurs photos qu'il m'ait été donné de voir d'eux à date.

Françoise et moi avons profité de mon séjour à Montréal pour rendre visite à notre cousine Louise Gervais et son mari Pierre Courchesne: c'était la première fois que nous avions le plaisir de nous rencontrer, après avoir échangé des tas de données sur notre famille, par l'entremise d'internet, depuis plusieurs mois. Ce fut une veillée fort intéressante et forcément beaucoup trop courte, comme disait Louise. Pierre avait tant de choses splendides à nous montrer, et Louise et moi avions tellement d'histoires de généalogie à nous partager que nous avons dû nous promettre une prochaine rencontre. Il sera encore plus intéressant de continuer à correspondre pour poursuivre notre collaboration que nous savons un peu mieux avec qui nous communiquons. Qui sait si, suite à cette visite, Pierre ne prendra pas le goût de construire un site internet pour nous partager les travaux de Louise: vas-y mon Pierre, t'es capable!Haut de la page

Recherches CONNOLLY:

21 déc 1998 - Des visiteurs assidus sur ce site ont trouvé qu'il se passait peu de choses dernièrement. Comme disait l'autre, il y en a qui nous suivent à la trace! Bien non, il se passe des choses. J'ai communiqué dernièrement avec une nouvelle cousine, fille de Gertrude Connolly, fille d'Eugène Connolly et Alma Comeau, fils d'Alfred et Marie-Louise Tailllon. Cette dame habite la région et me dit qu'elle a chez elle plusieurs photos de la famille Connolly. Nous avons convenu de nous rencontrer vers le mois de mars, pour tenir compte de son horaire. Elle est enchantée de retrouver des liens avec la famille. J'ai bien hâte de pouvoir la rencontrer.

Je suis encore sans nouvelle de ma demande d'information concernant le dossier militaire d'Edward. On me garantit que les responsables devraient répondre à ma demande d'une manière ou de l'autre. Il faut donc continuer d'espérer. Les délais "normaux" ne sont pas encore expirés, de toute manière.

Je vous ai parlé à plusieures reprise dans cette page de nos cousins de la famille Meilleur, de Ste-Adèle. Nous gardons un contact régulier par internet, est c'est bien merveilleux. Nous avons tenté de nous entendre sur une date pour rendre visite à notre cousine Estelle Faucher de Drummondville, mais finalement nous n'avons pas réussi à trouver une date qui convenait à tout le monde avant Noël: ce ne sera que partie remise. Tout le monde a bien hâte à cette rencontre.Haut de la page

Note biographique sur Félix Connolly

4 déc 1998 - Grâce à une information qui m'est fournie par une connaissance de Montréal, M. Maurice Vallée dont j'ai déjà parlé ici, j'ai mis la main sur une note biographique au sujet de Félix Connolly. Cet texte était publié en 1864 dans la revue "LE FOYER CANADIEN, RECUEIL LITTÉRAIRE ET HISTORIQUE", tome II, page 359. Voici le texte:

Félix Connolly (Wickham)

Voici comment ce défricheur célèbre racontait son histoire à un de nos amis:

"Je suis né à St-François du Lac en 1818. Mon père était soldat de l'armée anglaise, ma mère était une canadienne-française du nom de Gamelin. Mes parents étant très pauvres, je fus mis en service à l'âge de dix ans. J'ai travaillé pour les autres jusqu'à l'âge de 20 ans. En 1838, je partis de ma paroisse pour aller habiter les townships, et en 1841, je me mariai. Mon mariage payé, il me restait une piastre. Je continuai à travailler à la journée jusqu'en 1844.

"Un jour passant devant la porte d'un riche anglais du township de Wickham, il me dit en me voyant mon sac de provisions sur le dos: Connolly, vas-tu porter ainsi ton petit sac bien longtemps? Je répondis que je ne savais pas ce que la Providence me réservait, mais que j'espérais des jours meilleurs. Quelques mois plus tard j'achetai de ce même anglais cinquante arpents de terre pour la somme de $550. Ces cinquante arpents me payèrent si bien qu'au bout de quelques années je pus acheter le reste de la terre que je payai facilement avec les revenus que j'en retirais. Quatre ans après, j'achetais la terre de mon autre voisin qui était aussi un gros anglais. Cela me faisait 245 arpents de bonne terre, dont 175 en état de culture. Alors, Dieu verci! je me trouvai fort à l'aise, et j'augmentai rapidement. J'ai maintenant, à part ma maison et mes bâtiments de ferme, 30 bêtes à cornes, 44 moutons, 4 chevaux, et d'autres animaux. J'ai de bonnes voitures pour conduire ma nombreuse famille à l'église. Dieu m'a donné treize enfants, tous vivants et plein de santé. L'ainée de mes filles a fini ses études au couvent de St. Grégoire, et un de mes garçons termine cette année son cours au collège de Nicolet"

L'ami qui nous envoie ces détails ajoute que M. Connolly ne paie pas moins de 50 à 60 minots de dîme tous les ans, et que ses propriétés valent au moins L1500. Il fait aussi le plus grand éloge de ses qualités, comme chrétien, comme père, comme citoyen.

On peut douter de l'origine exacte de ce texte, puisqu'on y constate des erreurs importantes. Félix s'est marié en 1839 (voir acte civil!), et non en 1841! Les acquisitions de terres décrites ici ne concordent pas très bien avec les contrats d'acquisition que l'on trouve au bureau d'enregistrement de Drummondville: j'ai les photocopies de ces documents en ma possession! L'inventaire de ses animaux de ferme ne concorde pas du tout avec l'inventaire fait à l'occasion du recensement de 1861 (voir ANQ!), et ne concorde pas du tout non plus avec les coutumes de l'époque: un cultivateur aurait fait quoi avec un troupeau de 30 bêtes à cornes, dites-moi donc! Et la pauvre Marguerite, sa femme, devait bien filer la laine 36 heures sur 24 pour fournir ses 44 moutons! Par exemple, une autre famille de ma connaissance produit à l'époque 75 verges de lainage et 55 verges de flanelle avec la laine de 14 moutons; avec 44 moutons, on aurait une véritable entreprise industrielle! Enfin, puisque le but avoué de cette revue est la promotion des valeurs du travail, de la tenacité, de la famille et le reste, alors pourquoi se priver d'en mettre un peu plus???Haut de la page

Recherches famille Connolly

Vous pouvez maintenant accéder au contenu de mon fichier de généalogie sur la famille Connolly directement ici. Toutes les données sont en hyper liens de sorte que vous pouvez passer d'un individu à un autre en cliquant sur les liens. Il y a présentement au delà de 1000 personnes répertoriées. Pour y accéder, cliquez sur le lien "Fichier Connolly" en haut de cette page.

Blanche Forest l'acadienne

Il y a bien un fichu de bon mement que je n'avais pas fait une trouvaille aussi importante que celle faite aujourd'hui! J'avais la ferme conviction que ma grand-mère paternelle Blanche Forest était d'origine acadienne, mais je n'arrivais pas à remonter sa lignée jusque là. Une ancêtre par consanguinité du nom de "Marie Amirault" confirmait ces soupçons. Bien c'est fait. Voici donc la lignée ascendante directe de Blanche Forest:

Blanche Forest - Georges Connolly
Isaïe Forest - Hortense Fortier
François-Xavier Forest - Marie Mirault
Jean-Baptiste Forest - Marie Hébert
François Forest - Jeanne Girouard
René François - Françoise Dugas
Michel Forest - Marie Hébert (Port-Royal)

Il s'agit souvent de peu pour faire débloquer des recherches amorcées depuis longtemps, et c'est ce qui est arrivé aujourd'hui. Par les documents de familles (particulièrement les cartes mortuaires), je me rendais à la génération de François-Xavier et Marie Mirault, mais il me manquait une génération, celle de Jean-Baptiste et Marie Hébert, pour accéder aux documents sur la généalogie acadienne.

L'histoire de la famille ne manque pas d'intérêt, ni de controverse à ce que je peux voir jusqu'à maintenant. Disons pour le moment que la famille de François Forest et de Jeanne Girouard est déportée en 1755 au Connecticut. La famille compte alors 9 enfants, dont le plus vieux a 19 ans et le plus jeune 5 ans. Je n'ai pas de détails pour le moment concernant le séjour aux USA. Ce que l'on sait c'est que la famille se retrouve à L'Assomption en 1767 où l'aîné Jean-Baptiste épouse Marie Hébert de notre lignée.

C'est l'ancêtre Isaïe, le père de Blanche notre grand-mère, qui ira chercher épouse à Gentilly et viendra s'installer éventuellement dans la région de Wotton pour exercer sa pratique de médecine.Haut de la page

Le Journal d'Edward

21 nov 98 - A compter d'aujourd'hui, vous pourrez suivre les épisodes du journal d'Edward Connolly, intitulé "Au delà de l'histoire". L'explication de ce titre tient au fait qu'il s'agit d'une histoire romancée, si l'on veut. Enfin, l'introduction au journal vous donnera plus de détails. Le Journal d'Edward.Haut de la page

Une visite "au-dessus" du temps

13 nov 98 - J'ai eu l'occasion aujourd'hui même de réaliser un vieux rêve: aller visiter les cantons de Wickham et de Kingsey du haut des airs. Bien oui. Grâce à mon bon ami Gilles Sainton, nous sommes partis de tôt matin, par une bonne grosse gelée blanche, mais par temps splendide, pour une envolée à la Longue Pointe de Wickham et dans la région de St-Félix. Nous étions en compagnie de son épouse Michelle (responsable des cartes, hum!) et de leur jeune fils Jean-Alain. Envolée magnifique, qui m'a permis de revivre bien des étapes de l'histoire du coin et de notre famille. Notre vol a duré environ une heure et fut un succès à tous points de vue. Je vous invite à vivre cette tournée en photos en activant le lien "visite aérienne". Je vous ai préparé un choix de photos avec quelques notes. Bon voyage!Haut de la page

L'histoire du clan Connolly en Irlande:

La famille Connolly est une des très anciennes familles d'Irlande. Son histoire remonte à l'époque de la légende dite des "Four Tribes of Tara", vers les années 700 de notre ère! Prenez connaissance d'un résumé de cette histoire en cliquant ici.Haut de la page

Visite chez les Connolly-Meilleur de Ste-Adèle:

2 novembre 1998 - La semaine dernière, j'ai eu le plaisir d'aller passer 2 jours chez Cécile Connolly et son fils Paul Meilleur à Ste-Adèle. Comme les Connolly sont des gens accueillants, vous comprenez que j'ai fait un séjour fort agréable. J'ai eu l'occasion d'y rencontrer également Thérèse Meilleur, une soeur de Paul, ainsi que Roger Meilleur, un frère de Paul également. Les Connolly sont jasants aussi. Vous pouvez consulter un compte-rendu de mon séjour en cliquant sur le lien ci-dessous. Vous y trouverez également quelques photos et un fichier sonore.
Visite à Ste-AdèleHaut de la page

Visite à la Longue Pointe de Wickham:

26 oct 1998 - J'ai passé un splendide après-midi à la Longue Pointe de Wickham, chez M. Guy Allard, l'encyclopédie du coin. Nous avons commencé par une visite des "attractions locales": l'emplacement des lots 2, 3, 4 et 5, qui nous intéressent le plus et ensuite l'emplacement de la traverse dite "de l'île à Barlow", puis de l'ancien cimetière protestant sur le lot 5. Ensuite nous avons regagné la maison, où nous a rejoints le frère aîné de M. Allard. Nous avons échangé sur les détails de l'histoire ancienne, sur tout et sur rien. J'ai été à même de confirmer bien des choses dont je n'étais pas certain. M. Allard tenait comme improbable que Félix Connolly ait pu être propriétaire du lot no 3; mais à la vue des contrats, dont j'avais apporté copie, nous avons convenu que c'était bel et bien le cas.

Mme Yolande Allard qui a écrit le dépliant sur l'histoire de la Longue Pointe est la fille du M. Allard qui est venu nous joindre et dont j'ai déjà oublié le nom. Je demandé à celui-ci les coordonnées de sa fille afin de la contacter pour vérifier où elle a pris ses informations sur la localisation de la terre de Félix. On sait que dans son dépliant, elle situe la terre de Félix assez loin des lots 2, 3 et 4.

J'en ai profité également pour prendre quelques photos intéressantes. Au retour, j'ai fait un arrêt, sur les indications de M. Guy Allard, à l'emplacement de l'ancienne mission de St-Pierre de Wickham. On y a restauré le cimetière il y a quelques années, et, dans un geste hautement symbolique compte tenu de la guerre qu'avait engendrée son premier déménagement, on y a également ramené la cloche originelle. Je me suis enfin arrêté au cimetière de L'Avenir où j'ai pu contempler les deux épitaphes sur la tombe de J.-B. E. Dorion, celui que l'histoire a qualifié d' "enfant terrible". Ce M. Dorion était ce que l'on qualifierait aujourd'hui de libre penseur, anticlérical sans doute. Une légende court encore aujourd'hui qu'on a inhumé son corps à cheval sur la limite du cimetière pour bien marquer qu'il n'était pas en grâce avec l'Église! Pourtant, son frère était curé de L'Avenir... Le cimetière de L'Avenir, comme bien d'autres, a été déménagé au début des années 1900, de sorte que nos ancêtres n'y sont plus identifiés.Haut de la page

Les quatre premiers enfants d'Edward:

On se souvient que les quatre premiers enfants d'Edward et de Marie sont nés avant le mariage catholique de 1822: "... et avons légétimé les quatre enfants qu'ils avaient eus ensemble.". Nous avons maintenant les dates de naissance de ces quatre enfants, tous baptisés à St-François-du-Lac:
Edouard: 5 avril 1816
Félix: 28 février 1818
Marguerite: 26 janvier 1820
Mathilde: 11 novembre 1821
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Edward et sa pension d'ancien combattant:

20 oct 98 - Je recois un couriel de M. Maurice Vallée qui m'informe que notre ancêtre Edward s'est vu accorder une pension militaire à compter du 5 juillet 1817, alors qu'il résidait à William Henry (Sorel). J'ai rencontré M. Vallé de manière fortuite au bureau d'enregistrement de Drummonville il y a un mois environ. Bien que nous n'avons pas de parenté commune à proprement parler (du moins pas de connue encore!), nous faisons des recherches sur des gens de la même région; c'est comme ça que nous avons pu échanger quelques informations utiles. M. Vallée me mentionne avoir trouvé cette information dans le volume British Army Pensioners Abroad 1772-1899, publié par Genealogical Publishing Co. de Baltimore au Maryland, en 1995.Haut de la page

Le recensement de 1831:

Au recensement de 1831, on a dénombré 10 personnes en tout chez Edward. La ferme occupe une superficie de 100 âcres, dont 20 sont en culture, le reste étant en "bois debout". Voici la description faite par le recensement, en termes de production et d'avoir:
- 1 minot de pois
- 0 minot de blé
- 0 minot d'avoine
- 4 minots d'orge
- 15 minots de seigle
- 5 minots de blé d'inde
- 200 minots de patates
- 3 bêtes à corne
- 0 cheval
- 0 mouton
- 9 cochons
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Chapelle Christ Church, de William Henry:

13 sept 98 - J'ai repéré dans le volume "Histoire de Sorel" une magnifique gravure illustrant l'église de la paroisse anglicane Christ Church où Edward et Marie se sont mariés en 1816, à Sorel. J'hésite à la mettre directement sur cette page, puisqu'en ajoutant trop de photos, son chargement sera ralenti. Si vous désirez voir la gravure en question, activez le lien suivant Gravure Christ ChurchHaut de la page

Nouvelle branche à notre famille:

13 sept 98 - Si vous avez consulté le babillard, vous avez noté qu'une représentante d'une nouvelle branche des Connolly vient de se joindre à nous, en la personne de Louise Gervais. Louise est une descendante de Joseph Connolly (le jumeau) fils d'Edward et Marie Gamelin. Joseph a une fille du nom d'Appoline, qui épouse Benjamin-François Gervais: elle descend de ce couple. Ce Joseph était le premier né de triplets: il y avait en second Peter, et ensuite Isabella qui n'a vécu qu'un mois et quelques jours.Haut de la page

Testament de Marie Gamelin (m. Edward Connolly):

8 sept 1998 - Parmi les contrats que j'ai trouvés au bureau d'enregistrement de Drummondville, il y a le testament de Marie Gamelin, en 1861. Ce document illustre une coutume fort courante à l'époque consistant à ce que l'on rédige un document en bonne et due forme sous seing privé, avec témoins et tout. Ensuite, on déléguait quelqu'un pour aller déposer le dit document au bureau d'enregistrement du district. Cette personne était alors assermentée pour confirmer l'authenticité du document qu'elle déposait. C'est ce que vous trouverez en ajout à la fin du texte du testament. On apprend que Marie est alors veuve, et très malade.Haut de la page

Mariages d'Edward Connolly:

7 sept 1998 -Je vous disais il y a quelques hours que l'éteau se resserrait sur Edward. Bien oui, c'est tellement vrai, que la pauvre Edward a commencé à "avouer" la vérité. J'ai trouvé enfin le premier mariage d'Edward, mariage dont nous soupçonnions l'existance, Paul et moi. Grâce à des informations fournies par un confrère généalogiste rencontré par hasard au bureau d'enregistrement de Drummondville, j'ai pu retracer le mariage suivant:

Le 5 août 1916, à Christ Church de Fort William-Henry (Sorel), avec Mary Gamlin de St-François.

Cet acte de mariage nous apprend également qu'Edward était "private soldier in the fourth Royal Veteran Battalion". A suivre...Haut de la page

Volume sur l'histoire de la famille Connolly:

Sept 98- Je suis à rédiger un volume sur l'histoire de la familles Connolly, descendants d'Edward Connolly. Si vous êtes de la famille et que vous voulez vous assurer de voir votre lignée figurer dans le volume, il est encore temps de m'envoyer un mot. Écrire à Pierre Connolly à pconno@abacom.comHaut de la page

Rencontre avec la famille de Joseph-Arthur / Ovide Connolly:

Oct 98- J'ai eu le grand plaisir d'accueillir chez moi Cécile Connolly et sa soeur Lise Connolly ainsi que Paul Meilleur, fils de Cécile. Les trois sont venus passer deux jours dans la région à la fin de septembre, et nous avons eu beaucoup de plaisir à découvrir plein de choses que nous partageons dans nos recherches. Vous pouvez consulter le compte rendu que Cécile a fait de cette visite sur le site de son fils Paul, à l'adresse suivante:

http://www.geocities.com/Baja/Dunes/5175/ascot.htm

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L'étau se resserre sur l'ancêtre Edward Connolly:

Oct 98- A l'occasion de recherches effectuées au bureau d'enregistrement de Drummondville, on trouve dans un contrat daté du _____ que Edward cède sa terre à son fils Félix, à charge à celui-ci de le loger avec son épouse Marie Gamelin, de les vêtir, nourrir et soigner jusqu'à leur mort. Pour ce faire, Félix pourra bénéficier de la moitié de la "rente annuelle versée à Edward par le gouvernement canadien en vertu de services rendus à l'armée anglaise". Voilà donc qui vient confirmer bien des choses. Par ailleurs, nous sommes sur le point, grâce aux indices fournis par Paul Meilleur et confirmés par le dictionnaire Drouin, de localiser un premier mariage anglican, probablement en 1816. C'est à suivre...Haut de la page


GÉNÉRALITÉS

Nouveau compteur:

6 juillet 2000 - Vous serez à même de constater que le compteur d'accès a été changé. Le nouveau compteur a l'avantage de rendre les statistiques disponibles aux usagers, ce que l'ancien compteur réservait au webmestre exclusivement. Si vous êtes curieux de consulter les statistiques, vous n'avez qu'à cliquer sur le compteur. Notez que le nouveau compteur n'a pas encore beaucoup de données de stockées. Il faudra quelque temps avant que les renseignements ne soient intéressants.

Nouvelle présentation:

11 mars 99 - Vous avez noté la nouvelle page d'accueil. Le changement était rendu nécessaire par l'ajout des nombreuses rubriques nouvelles disponibles sur le site. J'en ai profité pour rendre la page d'accueil plus fonctionnelle: je crois qu'une fois que vous vous y serez habitué(e)s, vous vous y retrouverez plus facilement.

La case des nouveautés vous permettra de suivre plus facilement l'évolution du site. Vous y trouverez la liste des nouvelles rubriques et des changements apportés sur le site. Cette liste sera toujours présentée en ordre chronologique inverse, de façon à vous faciliter la tâche. Les dates seront indiquées dans la mesure du possible (au moins sur la barre d'état de votre navigateur).

La titre Chronique remplacera peu à peu l'ancien titre "Informations, nouvelles et potins". L'idée est simple: l'ancien label est trop long pour être commode! Le contenu de la rubrique reste inchangé.

Chaque lien actif de la page d'accueil a son texte descriptif qui figure sur la barre d'état de votre navigateur si sa configuration le permet. Placez votre souris sur un lien actif et lisez la description. Dans la colonne des nouveautés, cette description indiquera également la date à laquelle cet item a été ajouté sur le site: vous avez ainsi une idée si vous avez déjà eu l'occasion de le consulter ou non...

Le moteur de recherche a été revampé. Il est maintenant beaucoup plus rapide, plus joli, et devrait fonctionner de manière acceptable dans la plupart des environnements, du moins je l'espère. N'hésitez pas à me rapporter les problèmes.

La table des matières (liste des rubriques sur menu déroulant) a été modifée pour donner une bretelle de défilement aux utilisateurs de Netscape.

J'ai supprimé une partie des éléments graphiques sur la page d'accueil pour en accélérer le chargement. Mon fournisseur me dit que des changements importants sont à s'effectuer sur mon serveur, et qui devraient accélérer le service d'ici deux semaines, donc vers la fin de mars.Haut de la page


Nouveau site Web:

Sept 98- Peut-être avez-vous essayé d'accéder à ce site Internet depuis quatre ou cinq semaines, pour vous faire dire qu'il ne répond pas... Bien oui. J'ai donc dû déménager; j'en ai profité pour refaire peau neuve et rependre la crémaillère! Et voici donc ce que ça donne.

Le "moteur de recherche":

Janvier 99 - Les visiteurs assidus ont pu remarquer que depuis quelque temps, j'ai installé un "moteur de recherche" local. C'étaient mes premières armes en Java Script. L'expérience est décevante à plusieurs égards. Le Java Script n'est pas univoque d'un fureteur à l'autre, ni même d'une version à l'autre d'un même fureteur. Plusieurs problèmes se manifestent, selon les situations de chacun. J'ai décidé de le laisser pour quelque temps, mais je vais éventuellement le retirer. Je me contenterai plutôt de l'outil de navigation "Table des matières".Haut de la page


FAMILLE PRATTE

Une fête magnifique:

11 juillet 1999: Une centaine de parents des familles Pratte et Giguère se sont réunis à Lefebvre pour fêter le 50e anniversaire de mariage de notre cousine Noëlla Pratte et Paul-Émile Giguère. Le rendez-vous était fixé autour des dix heures trente; après des retrouvailles informelles, la fête commençait par une messe que j'avais le plaisir de présider, à l'intention des jubilaires et de nos ancêtres communs. Cette première étape fut suivie du repas fraternel au cours duquel l'ineffable Margot (Marguerite Turcotte) lut à l'intention des jubilaires une magnifique adresse qu'elle avait composée elle-même: son texte était aussi chaleureux que plein de références à des événement inoubliables de la vie des familles. Après le repas, les gens présents ont pris quelque temps pour échanger des voeux plus individuels avec les jubilaires. André Turcotte et moi en avons profité pour recevoir de plusieurs personnes présentes des informations tout à fait intéressantes sur l'histoire de la famille. Quelques personnes nous ont également promis des photos anciennes: ce sera Noëlla qui sera le point focal pour cette cueillette. Un gros merci à Mme Georgette Giguère qui a organisé cette rencontre chaleureuse. Vous pouvez consulter quelques photos de cette fête en cliquant iciHaut de la page

Belle visite:

10 juillet 1999: Notre cousin André Turcotte était dans la région en vue de la rencontre du lendemain, et il m'a rendu visite dans la journée du samedi. Nous avons passé le temps dont nous disposions, vous vous en doutez, à parler de généalogie et d'histoire de la famille Pratte, et aussi de la famille Turcotte. Nous sommes même allés passer un peu plus d'une heure à la bibliothèque de la Société de généalogie des Cantons de l'Est où, à la plus grande joie d'André, nous avons trouvé une multitude d'informations intéressantes sur la famille Turcotte en particulier.

Nouveaux cousins chez les Pratte

20 mai 1999: Un cousin et une cousine s'ajoutent à ma liste. Il s'agit d'André Turcotte et de sa soeur Margot Turcotte, deux des enfants d'Anita Pratte (pour la lignée, voir la page sur la famille Pratte). André réside en Nouvelle-Ecosse, et Margot est à Québec. André fait des recherches généalogiques également, sur les familles Turcotte et Pratte, entre autres; ceci nous permettra d'échanger des informations, ce qui est toujours intéressant. On peut trouver le site d'André à http://www3.ns.sympatico.ca/maturc/Turcotte/surnames.htm et celui de Margot à http://pages.infinit.net/margotte . Haut de la page

Marc-Aurèle Pratte: dossier militaire

15 janvier 98 - Dans la famille, nous avons toujours su que Marc-Aurèle Pratte était allé à la guerre, et qu'il n'en était pas revenu. Mais nous n'en connaissions à peu près rien de plus. Après plusieurs tentatives pour le retrouver aux Archives Nationales d'Ottawa, j'ai fini par trouver un dénommé Mark-Aurelius Pratt, dans les archives militaires de la Défense Nationale. C'est bien lui. Aujourd'hui 15 janvier 1999, j'ai reçu par la poste un dossier d'environ 30 pages à son sujet. Le dossier contient de documents forts variés, comme son billet d'enrôlement, le rapport de son examen médical, son testament, des feuilles de paye et plusieurs rapports médicaux puisque Marc-Aurèle a été hospitalisé durant 6 mois en Angleterre, pour anémie en particulier. Selon sa fiche d'examen médical, il semble qu'il était un petit homme. Je reproduis donc ci-dessous un résumé du dossier que j'ai reçu. Résumé du dossier de Marc-Aurèle

Visite au-dessus du temps

13 nov 98 - Il ne faut pas manquer de visiter, si vous ne l'avez pas déjà fait, la page intitulée "visite au-dessus du temps". Activez simplement le lien.

Infos sur les Pratte

12 nov 98 - J'ai ajouté beaucoup d'information sur la lignée Pratte, avec quelques photos également. J'apprécierais avoir du feedback, surtout dans la partie la plus récente de l'historique. Si quelqu'un d'entre vous trouve la patience de rassembler quelques informations, vous serez gentils de me les faire parvenir.

Photo d'Antoine Pratte (1830-1918)

20 oct 98 - Ce jour avaient lieu le funérailles de notre cousin Antoine Pratte (1921-1998) à East-Angus. Lors de la réception qui a suivi les funérailles, plusieurs membres de la famille Pratte étaient présents. J'en ai profité pour remettre à notre cousine Noëlla l'original de la photo de son grand-père Antoine qu'elle m'avait passé, en même temps que la reproduction que j'en ai tirée et dont vous pouvez voir un format réduit ci-dessous. Cette photo a fait fureur! Ceux qui en voudraient une copie sont priés de m'envoyer un couriel et je le en enverrai copie de taille normale (450 x 325 pixels) par retour de couriel.

Décès d'Antoine Pratte:

C'est avec une grande tristesse que j'ai appris en fin de semaine le décès de notre cousin Antoine Pratte à l'âge de 76 ans. Il était le fils de Jos Pratte et de M.-Emérentienne Olivier, époux de Jeanne-D'Arc Fréchette. M. Pratte est décédé des suites d'une courte maladie. Il suivait de très près mes recherches en généalogie, me téléphonant ou venant me voir régulièrement pour prendre connaissance de mes nouvelles recherches et trouvailles.Haut de la page

Antoine Pratte (m. Adée Dubois)

7 oct 98 - A l'occasion d'une visite chez Mme Noëlla Pratte, de South Durham, je suis revenu avec une ancienne photo de notre ancêtre Antoine Pratte (époux de Adée Dubois). La photo est en mauvais état mais quand même tout à fait utilisable pour une bonne restauration. Merci à notre cousine.Haut de la page


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